Le texte qui défile sur l’écran au début de Vera Cruz de Robert Aldrich (1954) comporte le passage que voici : « The Mexican people were struggling to rid themselves of their foreign Emperor – Maximilian. / Into this fight rode a handful of Americans – ex-soldiers, adventurers, criminals – all bent on gain. » Dans le sous-titrage français de 2001, cette phrase est traduite de la façon suivante (par la société londonienne Visiontext) : « Le peuple mexicain peine [sic] à se débarrasser de leur empereur étranger, Maximilien. Des Américains participent à leur lutte… Soldats, aventuriers, criminels attirés par l’argent. »
Cette horreur semble s’être diffusée sous l’influence de l’anglais people, qui requiert toujours la mise au pluriel du verbe et se traduit couramment par « les gens ».
« Ouverte à tous, une MJC offre à la population qui l’entoure la possibilité de prendre conscience de leurs aptitudes, de développer leur personnalité, de se préparer à devenir les citoyens actifs et responsables d’une démocratie vivante. » (Site Internet de la Fédération régionale des Maisons des Jeunes et de la Culture de Lorraine ; page intitulée : « Projets et valeurs d’éducation [sic] populaire ».)